Le Balletomane anonyme du mois de décembre !

Présente-toi, dis nous quand a commencé ton addiction ?

Je m’appelle Yacine. Je suis devenu balletomane il y a très très très longtemps, complètement par hasard, à force d’attendre ma sœur pendant des minutes interminables à la sortie de son cours de danse et d’assister à ses galas… pour faire soutien moral (rires).

J’ai été de plus en plus intrigué et puis un jour, j’ai assisté au spectacle de l’école de danse du Ballet de l’Opéra de Paris à Garnier. Et là ça a été WOW !! Je suis tombé amoureux du lieu et du ballet tout à la fois. Cette passion ne m’a plus quitté depuis.

Ta famille l’a acceptée ? Raconte-nous.

La balletomanie est une évidence. À tel point que la question qui suit immédiatement la phrase « Je ne suis pas joignable ce soir » est « Ah, tu es à Garnier ?  C’est quel ballet ? », suivie de « C’est Myriam qui danse ce soir ? »

Ici, on sait qu’on soigne le mal par le mal. Que fais-tu quand tu es en manque de danse ?

Une bonne cure de la descente des ombres sur Youtube ou une écoute de La Bayadère sur Deezer et tout repart !

À quel ballet es-tu accroc ?

La Bayadère ! Je crois que je n’aurai jamais vu assez de versions et d’interprétations de ce ballet qui a toujours été et sera toujours magique pour moi. Plus généralement, j’adore les grands ballets classiques narratifs (bien interprétés, rires).

À quel(s) danseur(s) voues-tu un culte ?

Marianela Nuñez et Ludmila Pagliero, las dos hadas argentas. Deux artistes fabuleuses qui illuminent la scène de leur grâce, leur fougue et leur virtuosité.

As-tu des vices dansants cachés ? 

Euh… il faut le dire ? Bon… glisser des extraits de musiques de ballets classiques dans mes présentations ou des noms de personnages de ballets dans mes QCM !

As-tu l’intention de te soigner ?

Pourquoi soigner la meilleure addiction du monde ?

Tu as besoin de parler de ton addiction ? Tu veux être le prochain Balletomane du mois ? Contacte-nous !